Loin de leur pays natal, à l’étranger, les chercheurs algériens continuent de briller. Le jeune chercheur algérien, Salah Nasri, est auteur de plus de 65 publications internationales dans les revues les plus prestigieuses et reconnues à l’échelle internationale, et détenteur de plusieurs prix à travers le monde.
La plupart de ses projets de recherche s’intéressent à la nature de la matière noire (dark matter). Il a réussi à obtenir un moyen de tester son existence à travers son interaction avec les particules élémentaires à l’origine de l’univers. Il est à souligner, enfin, que Salah Nasri a étudié la physique théorique à l’université d’Oran en Algérie. Il a rejoint, plus tard, le centre international de physique théorique de Trieste en Italie puis l’université de Syracuse dans le conté de New York aux Etats Unis d’Amérique où il a obtenu son PHD en 2001.
Il a, ensuite, rejoint le centre de physique théorique à l’université du Maryland comme chercheur. Dr. Nasri a aussi obtenu un poste de chercheur associé à l’Institut «Fundamental Theory» à l’université de Florida aux USA. L’Algérie, son pays, n’a pas su le retenir. Il est parti donc faire le bonheur de la recherche aux Emirats Arabes Unis où il occupe le poste de Professeur associé depuis 2007. Le jeune chercheur continue à aider et à collaborer avec les chercheurs algériens. Il co-encadre, actuellement, plusieurs étudiants en master et doctorat à la faculté de physique de l’université des sciences et de la technologie d’Oran –Mohamed Boudiaf- avec lesquels il a publié plusieurs articles dans des revues scientifiques de renommé mondiale.
Source : ElWatan