L’Algérienne Nabila Aghanim et son équipe de chercheurs auraient enfin réussi à découvrir la matière cachée de l’Univers.
En effet, une équipe du CNRS menée par l’algérienne Nabila Aghanim aurait réussi à mettre en évidence la matière cachée de l’Univers grâce à une étude statistique innovante de données âgées de 20 ans. Leur aboutissement a été publié dans la prestigieuse revue scientifique européenne Astronomy & Astrophysics (A&A).
Nabila Aghanim et son équipe de chercheurs ont démontré des particules jamais observées dans la toile cosmique. Il s’agit exactement des baryons inaperçus dans la structure filamentaire de la toile cosmique; que la chercheuse du CNRS à l’institut d’astrophysique spatiale de Paris-Saclay, son post-doctorant Hideki Tanimura et leurs collègues ont étudié.
Cette étude, qui a été financée par le projet ERC ByoPiC. Les particules en question représentent de façon plus ou moins sûre, 40% de la matière ordinaire qui constitue les étoiles; planètes et galaxies. C’est ce qu’a expliqué le Centre national de la recherche scientifique (CNRS).
Les résultats des données collectées par l’astrophysicienne Nabila Aghanim et son équipe de chercheurs
Par ailleurs, l’équipe menée par Nabila Aghanim invoque une analyse statistique qui affirme pour la première fois l’émission dans le domaine des rayons X; des particules chaudes présentes dans les filaments cosmiques reliant les galaxies entre elles. Ils y ont trouvé un signal de rayon X correspondant à la position d’environ 15.000 filaments cosmiques de grande taille.
Ainsi, l’équipe de la chercheuse algérienne a tiré avantage de la coïncidence spatiale entre la position des filaments et l’émission X qui y est assemblée afin de fournir des preuves évidentes de la présence du gaz chaud dans la toile cosmique et en mesurer pour la toute première fois la température.
Ces résultats contribuent à ouvrir la voie à des études plus approfondies qui permettront grâce à des données de meilleure qualité; d’expérimenter l’évolution du gaz dans la structure filamentaire de la toile cosmique. Ces résultats construits par l’équipe guidée par Nabila Aghanim terminent des analyses antécédentes réalisées par la même équipe.
De ce fait, le chercheur islamologue algérien, Saïd Djabelkhir a tenu à évoquer la recherche menée par l’algérienne Nabila Aghanim sur sa page Facebook; en ironisant : « Une autre dont la raison est déficiente, Nabila Aghanim en l’occurrence, prouve sa compétence en réussissant à découvrir la matière cachée de l’Univers. » C’est un petit mot sarcastique adressé certainement aux esprits misogynes.
Par KHADIDJA H. /Dzair Daily