Les travaux du premier séminaire académique algéro-hongrois ont été clôturés, jeudi à Alger, par la signature d’accords de coopération entre le Centre de recherche en économie appliquée pour le développement (CREAD) et l’Institut hongrois spécialisé dans les relations internationales portant sur les domaines de l’agriculture, de l’énergie et de l’économie de transition.
Premier du genre, le Séminaire académique algéro-hongrois, abrité par l’Université d’Alger 3, depuis mercredi, a vu l’organisation de différents ateliers animés par des professeurs et chercheurs universitaires des deux pays, portant essentiellement sur plusieurs axes relatifs aux relations internationales, la lutte contre le terrorisme et l’extrémisme et les questions de développement.
Les travaux ont été clôturés par la conclusion d’accords de coopération entre le CREAD et l’Institut hongrois spécialisé dans les relations internationales. L’ambassadrice de Hongrie en Algérie, Helga Katalin Pritz, s’est félicitée de la conclusion des accords et du déroulement des travaux de ce séminaire qui a vu la participation d’experts dans les relations internationales de renommée internationale.
Le recteur de l’Université Alger III, Cheriet Rabah a indiqué que l’organisation de cette rencontre était une occasion pour débattre et prendre connaissance de tous les domaines possibles pour une coopération d’avenir entre les deux pays.
Intervenant en marge de cette rencontre, le Directeur général du CREAD , Yacine Belarbi a indiqué à l’APS, que la signature des accords susmentionnés, sera une opportunité pour consolider les relations de recherche sur le terrain entre les deux établissements.
L’organisation de cette rencontre , rappelle-t-on, a été initiée par la direction de la coopération et des échanges interuniversitaires auprès du ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, en coordination avec l’ambassade de Hongrie à Alger.
Lors de cette rencontre, plusieurs thèmes ont été débattus par les enseignants et chercheurs universitaires des deux pays spécialisés dans les relations internationales, notamment ceux ayant trait aux préoccupations sécuritaires des Etats et aux moyens de lutte contre le terrorisme et la pensée radicale, aussi bien que des thèmes relatifs à l’investissement et à l’échange d’expériences de développement entre les deux pays.
D’autres thèmes concernant les droits de l’Homme, l’Etat de droit et les droits des peuples, tout en mettant en lumière sur toutes les opportunités possibles pour le renforcement de la coopération académique entre les deux pays, ont été également abordés.
APS