Agende du Centre Culturel Algérien à Paris

A l’occasion du 79ème anniversaire de la disparition du grand Penseur, philosophe et poète Allamah Muhammad Iqbal

Le Centre Culturel Algérien organise en partenariat avec l’Ambassade du Pakistan en France

Programme

19h00: Une conférence  sur le thème « De la reconstruction de la pensée religieuse en Islam. Le Maître-penseur et réformateur Muhammad Iqbal comme étude de cas », de Karim IFRAK, chercheur au CNRS et spécialiste de l’histoire intellectuelle et de la vie de la pensée dans les mondes musulmans.

20h00: Collation

20h30: Soirée avec le groupe pakistanais Subhan Ahmed Nizami et Qawwals (Entrée 15 euros)

Subhan Ahmed Nizami et Qawwals Bache Dehli Gharana de Karachi. Sortie tout droit des pages de l’histoire, cette prestigieuse école de musique hindoustanie, sans doute la plus ancienne du sous-continent indo-pakistanais, fut fondée par Hazrat Amir Khusro en 1276, pour satisfaire le désir de son Pir (Maître spirituel) Khwaja Nizamuddin Aulia. Non seulement c’est la plus ancienne école de musique dont les enseignements sont restés attachés à l’authenticité,  consciencieusement  retransmis de père en fils. Subhan Ahmed Nizami accompagné de ses  deux frères que nous aurons la chance d’accueillir à l’occasion de cette soirée, est le 33e  descendant, en ligne directe, du premier élève de Amir Khusro : Mian Samaath, le seul d’ailleurs qui ait encore des descendants.

De son vrai nom Nasreddine Daghiche, cheb Didine se consacre, dés son plus jeune âge,  à sa passion pour le chant et débute en tant que choriste sur les bancs de l’école. Il sera très vite mis sur le devant de la scène puisqu’à l’âge de 15 ans, il se produit déjà dans sa ville natale, Béjaïa, où il  décide de créer son propre groupe de danse.

Spectacle en arabe dialectal

Amine n’a qu’un seul plaisir dans la vie : vous faire rire ! Et rien ne peut faire fléchir sa volonté. Amine a commencé par tester son humour auprès de son entourage, dans sa ville natale de Sig (Ouest algérien). Encouragé, il tente de petites scènes à Oran. En 2010, il décide de s’installer en France sans pour autant  abandonner son projet, à savoir, continuer à faire rire.  Il suit des cours de théâtre pour « structurer » son don.