Rencontre avec l’artiste plasticien Farid Benyaa autour de son ouvrage d’art « Algérienne source du futur »

Rencontre avec l’artiste plasticien Farid Benyaa autour de son ouvrage d’art « Algérienne source du futur »

Mercredi 15 mars 2017 à 18h30 au Centre Culturel Algérien de Paris

Dans le cadre de la célébration de la Journée Internationale de la Femme.

Avec la participation des écrivains Djamel Mati, auteur de « Yoko et les gens du Barzakh » et Abderrahmane Djelfaoui auteur « Anna Gréki, les mots d’amours, les mots de guerre »

D’Alger à Tamanrasset, de Batna à Tlemcen en passant par les montagnes du Djurdjura, l’artiste nous fait découvrir toute la diversité de notre culture à travers der portraits de femmes! Par la subtilité de son coup de crayon il nous dévoile toute la beauté, la grâce et l’authenticité de la femme algérienne.Toutes les œuvres sont accompagnées de citations de grands écrivains, poètes, journalistes et cinéastes qui ont marqué la culture algérienne.

(Le livre d’art est en vente sur internet: www.art-algerie.com)

L’occasion de cette rencontre permettra aux écrivains Djamel Mati et Abderrahmane Djelfaoui de parler de leur livre qui mettent à l’honneur la femme.  Le roman de Mati évoque le quotidien de trois familles que  tout sépare, trois destinées se croisent pour partager une même tragédie sans fin, provoquée par autant d’amour tendre, possessif, contrarié et fou sous le regard rétrospectif de Yoko le chat. Mais la femme reste le trait d’union, le dénominateur commun qui, sans elle, le roman n’a aucune assise.

Abderrahmane Djelfaoui, poète, a choisi une femme, une poétesse, Anna Colette Grégoire, une militante anticolonialiste résolue et passionnée. Anna Gréki est son nom de plume.  Cette femme qui subjugua tant d’esprit et de cœurs naquit à Batna en 1931 et passa sa prime enfance dans un village des Aurès. Elle décrocha le bac à seize ans, une année après mai 1945. « C’est un récit partiel de sa vie qui va nous mener de la Seconde Guerre mondiale jusqu’au lendemain de l’Indépendance où elle peut enfin initier la publication de son premier recueil « Algérie Capitale Alger », préfacé par Mostéfa Lacheraf « 

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