Centre Culturel Algérien de Paris/Agenda

Centre Culturel Algérien de Paris/Agenda
– Mercredi 23 novembre 2016 à 18H30
Rencontre autour de l’ouvrage collectif «Une enfance dans la guerre/Algérie 1954 – 1962», textes inédits recueillis par Leila SebbarAvec la participation des écrivains Leila SEBBAR, Karima BERGER, Dany TOUBIANA, Djilali BENCHEIKH et Patrice RÖTIG, l’éditeur Bleu -autour

Nés dans les années 1940 et 1950, quarante quatre auteurs issus des différentes populations de l’Algérie d’avant l’indépendance racontent
leur enfance dans la guerre d’Algérie. C’est inédit. C’est le bon moment puisqu’ils sont les derniers témoins directs du douloureux épilogue
de la longue histoire commune à la France et à l’Algérie.

Vendredi 25 novembre 2016 à 20h30
« La guerre de mon père », un spectacle de Judith Depaule et Vincent Deslandres Compagnie MABEL OCTOBRE

Conception Judith Depaule: Vincent Deslandres
Mise en scène : vidéo Judith Depaule
Scénographie : Tanguy Nedelec
Musique : Mell
Collaboration images : Maria Loura Estevão, JSLB réalisation
Décor:Tanguy Gauchet, Vincent Tronel et Sid Ali Zine

Entrée 10 euros

La guerre d’Algérie a fait couler beaucoup d’encre, pourtant elle reste un sujet difficile pour la mémoire collective. Que savons nous
au juste des « évènements d’Algérie», officiellement désignés comme une guerre que depuis 1999 ? . La colonisation est une plaie encore suintante.

Samedi 26 novembre à 20h30
Concert de Kamel EL HARRACHI


Entrée 15 euros


De son vrai nom Kamel AMRANI, Kamel El Harrachi à repris le nom de scène de son défunt père Dahmane El Harrachi, afin de perpétuer sa mémoire. Kamel interprète ses propres compositions et celles de son
père. Il a travaillé l’orchestration et écrit ses propres textes, inspiré des anciennes chansons. L’artiste reste ainsi fidèle aux styles et aux mélodies qui ont fait la réputation du chaâbi.Mardi 29 novembre à 19H00
Projection de «Parfum d’Alger», une fiction de Rachid Mohamed BENHADJ

 

Entrée libre

C’est l’histoire d’une femme, Karima, une photographe algérienne qui vit à Paris depuis plusieurs années et qui est obligée de rentrer
précipitamment à Alger pour assister à l’agonie de son père contre lequel elle s’est révoltée il y a 20 ans. Elle avait alors rompu tout contact avec lui, mais aussi avec les siens et sa terre natale…

advert

No comments yet.

Leave a Reply

Inline